Recyclage Plastiques .fr Le plastique, cela peut être fantastique 2014-04-05T00:22:42Z /feed/atom/ WordPress admin <![CDATA[JBI… c’est parti, c’est officiel!]]> /?p=568 2012-01-29T16:19:27Z 2012-01-29T16:11:19Z Alors que SITA UK s’est lance dans l’aventure, un autre concurrent avec une technologie differente et normalement plus efficace et rentable, vient de recevoir son autorisation d’exploiter… pour un site, mais d’autres en preparation…

http://www.jbiglobal.com/news/2010-press-releases/20101215-recycling-facility-lease.aspx

pour plus de details : stuart at sonnetcapital POINT com

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admin <![CDATA[le recyclage en Afrique]]> /?p=564 2012-01-10T16:45:56Z 2012-01-10T16:09:17Z

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admin <![CDATA[Synthèse et retombées de 20 ans de travaux de recherche et développement financés par l’ADEME sur le recyclage des plastiques]]> /?p=560 2011-12-12T14:33:02Z 2011-12-12T14:33:02Z L’étude met en perspective, au regard des éléments de contexte, les thématiques abordées par la recherche financée par l’ADEME sur la période 1990-2009 concernant le recyclage des plastiques. Tant que possible, les liens entre les projets sont présentés sous forme de schéma pour visualiser l’utilisation des résultats et les évolutions des thématiques de recherche.
Un bilan concernant les montants de l’aide financière de l’ADEME a été également réalisé. Entre 1990 et 2009, le montant total de l’aide financière de l’ADEME est d’environ 8,2 millions d’euros. Le montant moyen par projet de l’aide financière de l’ADEME varie entre 50 000 et 100 000 € sur la période 1990-2009. Sur les 106 projets couverts par cette étude, 27% des projets ont fait l’objet d’un cofinancement. Les cofinanceurs sont des industriels, des centres de recherche et/ou des institutions.
Les informations concernant les retombées industrielles des projets de R&D et thèses ont été obtenues pour la moitié des projets visés. 15% des projets de R&D et 13% des thèses ont conduit à des retombées industrielles. Les industriels prennent part à la majorité des projets ayant abouti à des retombées industrielles : dans 42% des cas il s’agit de projets menés seul par un industriel, et dans 25% des cas il s’agit d’un partenariat entre industriel(s) et centre(s) de recherche.
Les principaux facteurs de succès et freins à un développement industriel des résultats de la recherche ont été mis en évidence. En ce qui concerne les facteurs en lien avec le contexte, outre l’influence des réglementations qui encouragent ou imposent la mise en place de filières, la présence et le bon fonctionnement de ces filières de recyclage est indispensable : les projets ayant abouti visent pour l’essentiel des déchets dont la collecte et le traitement sont encadrés par des textes réglementaires (REP). Pour les facteurs de succès en relation avec déchets entrants, le coût de ces déchets entrants va de paire avec la rentabilité de la technologie utilisée lors du recyclage. Pour les facteurs de succès en relation avec les débouchés, la performance et la qualité sont primordiales. Les facteurs en lien avec les relations dans la filière soulignent l’importance de la communication entre les acteurs de la filière, que ce soit pour assurer un bon fonctionnement de la filière ou pour participer au développement de technologies et débouchés répondant aux attentes des utilisateurs de matières recyclées. Contrairement aux facteurs de succès, rares sont les freins qui sont désignés comme importants voire décisifs pour plus de 50% des projets. Cela s’explique notamment par le caractère non-abouti de la recherche, cité comme principal frein pour les projets couverts.
Enfin, cette étude propose des pistes de recherche à court et moyen termes sur le thème du recyclage des plastiques, ainsi que les éléments de réflexion à prendre en compte pour la définition des priorités de recherche de l’ADEME.

http://www2.ademe.fr/servlet/getBin?name=D7CE126147A40339B789DE996D39DFFE_tomcatlocal1322815048225.pdf

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admin <![CDATA[Elise et Starck]]> /?p=558 2011-12-06T14:03:31Z 2011-12-06T14:03:31Z

Elise by Starck from ELISE Recyclage on Vimeo.

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admin <![CDATA[Un plastique issu des déchets verts… encore !]]> /?p=551 2011-11-29T14:25:50Z 2011-11-29T14:25:50Z Le Centre technique de la conservation des produits agricoles (CTCPA) de Bourg-en-Bresse, dans l’Ain, coordonne le projet européen Succinate Packaging (SucciPack) sur les emballages alimentaires à base de polybutylène succinate (PBS). Ce polymère issu de la chimie du pétrole pourra, à l’avenir, être fabriqué à partir de glucose lignocellulosique, obtenu par fermentation bactérienne des déchets verts. « Ce matériau renouvelable à faible empreinte constitue une alternative intéressante à l’acide polylactique (PLA) », affirme le CTCPA. Selon Patrick Dole, qui coordonne le projet, le PBS présente un comportement thermomécanique intermédiaire entre un polypropylène (PP) et un poléythylène basse densité (PEbd) : « Sa température de transition vitreuse, à – 40 °C, est intermédiaire entre celles du PE (– 120 °C) et du PP (– 15 °C). Sa température de fusion est située à 110 °C. Il présente des propriétés barrières à l’oxygène meilleures que celles du PLA en film, en raison de son caractère fortement cristallin. »
 Spécialisé dans la fabrication d’emballages, le Laboratoire national d’essais (LNE) effectue des tests sur des produits alimentaires comme la viande rouge, le poulet, les légumes, les plats végétariens prêts à consommer, ou encore le fromage. Les conclusions sont attendues en 2014.

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admin <![CDATA[Des emballages plastiques bientôt intégralement recyclables]]> /?p=553 2011-11-25T16:05:21Z 2011-11-25T16:05:21Z Des chercheurs de l’Université de Warwick ont mis au point un procédé qui permet de recycler 100% des emballages en plastique, aussi composites soient-ils

Seule une petite partie du plastique – le plus souvent 12 % et rarement plus de 20 % – contenu dans nos emballages est recyclée. Ces chiffres sont largement ignorés par les citoyens, la plupart ne se doutant pas qu’il est finalement très difficile et coûteux de séparer les multiples composants plastiques des emballages. Des chercheurs de l’Université de Warwick (Grande-Bretagne) pourraient néanmoins avoir trouvé la solution pour augmenter les proportions. Ils prétendent pouvoir recycler 100% des emballages plastique.

C’est le principe de la pyrolyse qui a été retenu. En l’absence d’oxygène, la chaleur permet de décomposer les matériaux dans un réacteur. La plupart des substances obtenues n’ont plus qu’à subir une étape de distillation pour être réutilisées. Les scientifiques ont ainsi pu produire de la cire lubrifiante, et ce n’est qu’un début : ils ont également prouvé que le styrène pouvait à nouveau servir à fabriquer du polystyrène. L’acide téréphtalique, lui, peut permettre d’obtenir des produits en plastique PET et le méthacrylate de méthyle, monomère de plastique comme le Plexiglas, peut aider à fabriquer des feuilles d’acrylique et de carbone. Quant au noir de carbone, il entrera dans la composition des pigments de peinture ou des pneus.

Outre les bénéfices considérables que pourrait procurer la mise en place d’un tel système, la facture de traitement des déchets des collectivités locales devrait elle aussi s’alléger. « Nous envisageons la construction d’une usine à grande échelle ayant une capacité de traitement de 10 000 tonnes de déchets plastiques par an en moyenne », a déclaré Jan Baeyens, directeur des recherches à l’Université de Warwick. Les tests effectués par les chercheurs la semaine dernière ont été concluants et ils travaillent maintenant en collaboration avec le département spécialisé dans le transfert des technologies Warwick Ventures pour tenter de confronter l’innovation au terrain, mais aussi de mesurer son degré d’applicabilité dans les entreprises de recyclage. Un projet « commercialement très attractif » et dont les acteurs pourront espérer « un rapide retour sur investissement », certifie M. Baeyens. Le recyclage des déchets est sans doute sur le point d’entrer dans une nouvelle ère.

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admin <![CDATA[Les industriels du plastique s’unissent contre la pollution marine]]> /?p=548 2011-11-21T22:13:45Z 2011-11-21T22:13:45Z Réunis les 16 et 17 novembre 2011 à Dubaï, aux Émirats arabes unis, les représentants mondiaux de la filière plastique ont élaboré un plan d’action contre la pollution marine. Par une centaine de mesures, notamment sous la forme de partenariats régionaux avec des organismes de recyclage et de protection de l’environnement, les producteurs ont réaffirmé leur engagement pris en mars 2011 à Hawaï (États-Unis). Six points stratégiques y avaient été définis, allant de la prévention des déchets à la source à un meilleur recyclage des produits finis. Les organismes professionnels ont mis en place un partenariat avec le groupe d’experts pour la surveillance et la protection du milieu marin, le Gesamp (Joint Group of Experts on the Scientific Aspects of Marine Environmental Protection), un organe consultatif auprès des Nations unies chargé d’étudier les aspects scientifiques de la protection de l’environnement marin. La filière plastique s’est engagée à soutenir les efforts du Gesamp pour évaluer l’origine, le parcours et les effets des micro-plastiques dans le milieu marin.

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admin <![CDATA[et Volvic fait pareil …]]> /?p=534 2011-11-21T22:10:48Z 2011-11-16T12:09:11Z VOLVIC

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admin <![CDATA[Coca Cola vegetalise le rPET…]]> /?p=531 2011-11-16T11:34:31Z 2011-11-16T11:31:11Z Dans la foulée de Volvic qui vient de dévoiler sa nouvelle bouteille partiellement composée de plastique végétal fabriqué à partir de mélasse de canne à sucre, Coca-Cola embraye avec une réalisation qui semble en tous points comparable à celle de la marque d’eau minérale: 25% de PET végétal, 25% de PET recyclé et le solde composé de PET fabriqué à partir de ressources fossiles. Malgré la diversité des composants entrant en ligne de compte dans la fabrication de la bouteille, le tout resterait entièrement recyclable selon les responsables de Coca-Cola qui ont communiqué en ce sens à destination de la presse. Enfin, et en ce sens, Coca-Cola se démarque un peu de Volvic, un programme a été engagé pour permettre au consommateur de vérifier l’impact environnemental de sa consommation grâce au site www.traceyourcoke.be
Regarder la video :
the Plant Bottle

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admin <![CDATA[Revetements de sols usages.]]> /?p=505 2011-11-16T11:24:03Z 2011-11-16T11:24:03Z Optimum : la profession adhère à la collecte

Une filière industrielle de gestion de dalles et moquettes usagées émerge en France. Sous l’impulsion de l’UFTM (Union Française des Tapis et Moquettes) et de la fédération française du bâtiment à travers l’UNRST-FFB (Union Nationale des Revêtements de Sols Techniques), l’association Optimum a été créée fin 2010 pour promouvoir et mettre en œuvre un programme de collecte et de valorisation.

Ce programme regroupe en réseau structuré, des opérateurs spécialisés en particulier dans la collecte et la logistique. Dans un premier temps, l’objectif est de récupérer sur les chantiers, les dalles de moquettes textiles usagées et les chutes de pose dans le neuf. Inauguré cette année en Ile-de-France, pour des raisons de simplicité de mode opératoire, le programme s’étend peu à peu à l’ensemble du territoire. Après la dépose, le conditionnement des dalles se fait à l’aide de big bags ou de palettes. Les produits sont collectés directement sur les chantiers, par le transporteur KTO pour le compte de Vanheede Environnement, tous les deux, partenaires d’Optimum. Vanheede connaît déjà le secteur. Ce recycleur belge travaille depuis quelques années avec le fabricant de moquette Desso, pour collecter ses dalles usagées en vue de leur recyclage. Contrairement à celui-ci, les dalles récupérées au sein du programme Optimum serviront de combustible industriel. Acheminées sur l’unité de traitement de Vanheede Alternative Fuels, les dalles sont broyées et intègrent d’autres composants savamment dosés pour obtenir un haut pouvoir calorifique. Sous forme de pellets, ces nouveaux combustibles alimentent principalement les cimenteries. Cette initiative a ete présentée sur le salon Batimat, le 9 novembre à Paris, sur l’un des ateliers-conférences.

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